Carré d'or Immobilier

Pensez-vous que le marché immobilier va continuer de monter ou au contraire va baisser?

Confirmation de l’augmentation des prix de l’immobilier
La hausse des prix aura atteint 13 % l’an dernier dans l’agglomération lyonnaise. Des chiffres qui ont valeur tant dans Lyon intra-muros que dans le reste de la métropole. D’année en année, le Crédit Foncier, à qui l’on doit ces observations définitives, a également constaté le rééquilibrage des petite et grande couronne qui pèsent désormais plus de 60 % du marché.
Après des décennies marquées par des prix très bas de valeurs immobilières par rapport au reste des grands villes françaises, Lyon occupe la troisième place après Paris, Nice et Marseille. Après des années où l’immobilier a constitué une valeur refuge, la page semble tournée. Même si les prix n’amorcent pas de baisse et continuent de stagner « à la hausse ».

L’immobilier reste abordable à Lyon malgré une faible augmentation des prix. Dans ce contexte de marché raisonnable, les logements les plus recherchés sont les 3/4 pièces ou les lofts. Et si le centre attire toujours autant les citadins invétérés, de bonnes opportunités apparaissent en périphérie.

Lyon est tout d’abord très fière d’avoir été inscrite en 1998 au patrimoine de l’humanité. La capitale des Gaules rejoint ainsi la baie d’Along ou le Mont Saint Michel dans les hauts lieux du patrimoine mondial de l’UNESCO. Au total 500 hectares sont classés, englobant la colline de Fourvière, les quartiers du vieux Lyon, la Presqu’île, les quartiers de la Croix Rousse, des zones qui sont marquées par une continuité urbaine de 2000 ans d’histoire.

Capitale économique importante, Lyon est fréquentée dès le 16ème siècle par de grandes familles florentines, et les rois Charles VIII et François 1er conforteront ce rayonnement en y installant leur cour.
La prospérité commerciale se poursuit et accompagne le développement des activités d’imprimerie et de soierie. Cette dernière activité donnera naissance aux fameux ateliers des canuts perchés sur la colline de la croix Rousse.
Au milieu du 19ème siècle le préfet Vaïsse - inspirées par la méthode du baron Haussman - trace les grandes percées de la presqu’île lyonnaise.

Au lendemain de la seconde guerre mondiale, Lyon entre dans une période de reconstruction intensive. Au-delà des Brotteaux émerge le quartier de La Part-Dieu et son architecture des années soixante-dix. La gare de Perrache est coupée de la presqu’île par la construction d’un monolithe de béton, centre d’échanges sous lequel s’engouffre l’autoroute au débouché du tunnel de Fourvière.

L’urbanisme se caractérise ensuite par une diversité d’influences qui contribuent à façonner l’identité architecturale. Le quartier de Gerland est ainsi marqué par les créations du visionnaire Tony-Garnier. La halle, le stade, la cité-jardin ponctuent cet itinéraire aujourd’hui transformé en Musée Urbain Tony-Garnier.

Cette histoire marquée dans la pierre donne aujourd’hui différents styles d’habitat qui caractérisent Lyon. Voici ces principaux types de logement en commençant par les plus nombreux :

- Immeubles 1890-1910 : habitations bourgeoises et particulièrement dans le style Haussmanien. Surtout dans les quartiers Presqu’île, Préfecture et à Villeurbane.

- Immeubles 1985-1990 : habitations présentes notamment dans le 3ème arrondissement. Peu de cachet, on retrouve ces constructions dans des zones qui évoquent des quartiers dortoirs avec peu de commerces.

- Immeubles 1970-1980 : constructions avec de grandes chambres donnant lieu parfois à de belles réalisations. Situées plutôt sur les bords extérieurs de la ville (notamment dans le 9ème) et dans une moindre mesure sur la Croix Rousse.

- Immeuble de style Canut : habitations avec des façades très sobres mais comportant de grandes fenêtres. Les plafonds sont hauts (plus de 4 m) offrant la possibilité de faire de vraies mezzanines. Ce sont de beaux planchers avec des poutres volumineuses. Situés au sommet et sur les pentes de la Croix Rousse. On en trouve également dans le quartier d’Ainay. Là, ce ne sont pas des ateliers de canuts, mais des appartements bourgeois construits à la même époque de la même façon.

- Immeubles 1930-1940 : constructions comportant des plafonds à la française avec une poutre centrale apparente. Cette époque marque le début du béton avec l’utilisation de piliers. Les hauteur sous plafond sont les même que dans les appartements bourgeois. On retrouve les alcôves mais il y a moins de murs porteurs grâce aux piliers, les possibilités de transformation des appartements sont donc plus grandes. Ces immeubles se trouvent un peu partout mais surtout dans les quartiers bourgeois dans le centre côté Rhône.

Carré d’Or Immobilier c’est un groupement de 2 agences  implantées à Villeurbanne.

Notre politique d’expansion vise un maillage géographique  pour répondre à vos besoins de proximité et de disponibilité.
   
  Forts de notre expérience, nous avons mis en place un  concept innovant qui intègre dans une même structure à votre portée les  services de transaction, administration de biens, défiscalisation, viager… , tout  ce qui vous est nécessaire pour gérer de façon efficace votre patrimoine immobilier.

Agence "Gratte-Ciel"
178 cours Emile Zola
69100 Villeurbanne
tél : 04.72.65.75.85 / fax : 04.72.65.75.80


Agence "Grandclement"
34 place Jules Grandclement
69100 Villeurbanne
tél : 04.72.13.90.00 / fax : 04.72.13.01.15